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D'Algérie - Djezaïr
Mouvement de réconciliation

Proposer une devise

"Il faut mettre ses principes dans les grandes choses, aux petites la miséricorde suffit." Albert Camus// "La vérité jaillira de l'apparente injustice." Albert Camus - la peste// "J'appelle à des Andalousies toujours recommencées, dont nous portons en nous à la fois les décombres amoncelés et l'intarissable espérance." Jacques Berque// « Mais quand on parle au peuple dans sa langue, il ouvre grand les oreilles. On parle de l'arabe, on parle du français, mais on oublie l'essentiel, ce qu'on appelle le berbère. Terme faux, venimeux même qui vient du mot 'barbare'. Pourquoi ne pas appeler les choses par leur nom? ne pas parler du 'Tamazirt', la langue, et d''Amazir', ce mot qui représente à la fois le lopin de terre, le pays et l'homme libre ? » Kateb Yacine// "le français est notre butin de guerre" Kateb Yacine.// "Primum non nocere" (d'abord ne pas nuire) Serment d'Hippocrate// " Rerum cognoscere causas" (heureux celui qui peut pénétrer le fond des choses) Virgile.// "Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde" Albert Camus.

D'Algérie-Djezaïr

Le MOUVEMENT D’Algérie-Djezaïr vient d’être officialisé par plus d’une centaine de membres fondateurs résidant dans le monde entier, ce 22 juin 2008 à Saint Denis (Paris - France). Il est ouvert à toutes celles et ceux qui voudront le rejoindre, natifs d'Algérie, et leurs descendants.

ORGANISATION

Elle est démocratique, c'est-à-dire horizontale, sans centralisme, et sans direction. Les décisions essentielles doivent être conformes à l’esprit du Texte Fondateur. Elles sont prises après larges consultations, où tous les membres donnent leurs opinions. Les règles internes sont arrêtées par les "adhérents". Pas de cotisations. Les groupes et le Mouvement trouvent les moyens de faire aboutir leurs actions.

Identité nationale. "Les Arabes ont-ils conquis l'Algérie?"

Il n'y a pas qu'en France qu'on en parle, le tout est de débattre, pleinement, sereinement.

L'identité algérienne est riche, multiple, complexe. Elle s'est construit au fur et à mesure de l'Histoire qui sur les rives de la Méditerranée a vu passer de nombreuses civilisations qui ont laissé des traces comme autant de strates, plus ou moins visibles, pouvant se nicher là où on l'attend le moins parfois.
Dans l'exposé ci-dessous l'auteur réduit la réflexion au seul rapport berbéro-arabe qui certes est d'importance, mais n'en demeure pas moins restrictif. Certaines des composantes des différentes facettes de ce qui a également construit l'Algérie contemporaine et que l'on retrouve dans le Texte Fondateur du Mouvement D'Algérie-Djezaïr ainsi qu'à travers les origines diverses (participant à l'Histoire algérienne) de ses signataires, sont absentes. C'est une erreur dans le débat qu'ouvre ce texte et dans les horizons qu'il ferme ainsi.
A vous de juger....et de commenter.

Lu sur Le Matin Dz   www.lematindz.net




Histoire et Identité : Les Arabes ont-ils conquis l’Algérie?

le 19 Décembre, 2009 

Le débat secouant la société algérienne sur la question cruciale de l’identité arabe ou berbère de l’Algérie nécessite un retour à la source de ce clivage. L’origine en est, bien entendu, l’expansion arabe en Afrique du nord. Certains affirment que les Arabes n’ont jamais conquis l’Algérie, d’autres se revendiquent une origine arabe justifiant ainsi l’identité arabe de l’Algérie. Qu’en est-il en réalité? Afin de répondre à cette question, deux périodes, marquées  par deux mouvements d’expansion majeurs,  doivent être prises en considération : La période de la première expansion et celle ayant trait à la seconde, celle les Béni-hillals

Première vague: Période 700-973

Les Arabes, après avoir imposé leur dominations sur La Tripolitaine (Libye) et l’Ifrikiya (Tunisie) s’imposeront face aux  Berbères (698) dirigés par Tarik Ibn-Ziad, les intègrent  à leur armée et continuent leur expansion vers l’Ouest en suivant l’axe Biskra-Tlemcen et Tanger pour finalement conquérir l’Andalousie (711). Dans  le cadre algérien, seul le Constantinois fera l’objet, de leur part d’une présence de type militaire, caractérisée, par ailleurs,  par une forte méfiance vis-à-vis des populations locales. En effet, la région  voit l’installation, sur son sol, de forteresses dans le Hodna et le Mzab qui montaient la garde face à l’Aurès et d’autres dans la région de Annaba  contre  la Kabylie, renforçant par là même l’enracinement des populations berbères dans les montagnes. Les Arabes établiront avec les Berbères des relations distantes, marquées surtout par le désir de soumettre les habitants au payement de l’impôt (villes) ou du tribut (campagnes). Cette politique déclenchera de la part des communautés Berbères de nombreuses insurrections qui s’étaleront durant tout le 8ème siècle et créeront un contexte approprié à la naissance d’un mouvement d’opposition non- arabe: il s’agit du kharidjisme (700-799),  qui est le premier mouvement de remise en cause de  la présence ethno-arabe en Afrique du nord. Les révoltés berbères adhèrent, en effet, à ce mouvement, de type islamique, et l’utilisent comme idéologie de contestation et de mobilisation face au pouvoir arabe. Il se localisera  dans le Mzab, et  mènera, sous la direction de Ibn Rustum, émir de Tahart, la  guerre contre les troupes arabes mais il ne réussira pas à s’étendre en dehors des régions sahariennes. Les troupes arabes, dirigées par le gouverneur du Mzab, Aghlab vaincront  les Kharidjites, et les obligeront à s’engager à vivre dans leurs cités du Mzab. Les Aghlab bénéficient, pour cette victoire du pouvoir au Maghreb. En effet en 800, le premier Aghlab obtient  le titre Émir et il le lèguera à ses héritiers. La dynastie aghlabide règnera sur le Maghreb pendant tout le 9ème siècle (800-900). Elle  concentra ses actions sur la Tunisie et le Maroc, régions riches et prospères et sources d’impôts et de tribut. Les Aghalabides ne s’intéressèrent pas au territoire proprement algérien car celui-ci n’offrait aucun intérêt économique. Même le Constantinois, proche du centre du pouvoir (Kairouan) est ignoré, car il brille, comparativement à la Tunisie, par sa pauvreté. Pauvre, la région est délaissée à elle-même, de sorte que les Aghlabides n’entreprirent aucune campagne pouvant aboutir à l’installation d’une population arabe dans cette contrée. Plus encore, ils établirent avec les populations un rapport basé sur la force et la distance, rapport symbolisé  par les forteresses, comme mentionnées ci-haut. Cette marginalisation, dont étaient victimes les Berbères, en fera un terrain fertile pour les ennemis des Aghlabides, à savoir, Les Fatimides. Alliés du mouvement abbaside, les aghlabides vont, en effet, être la cible d’un deuxième mouvement de remise en cause de leur présence en Afrique du nord, entre 900 et 976. Il s’agit du chiisme. Adeptes de l’imam Ali, les chiites ou Fatimides, se posèrent en adversaires des Abbassides au pouvoir en Orient et au Maghreb. La contreverse portait sur la succession du prophète de l’Islam. Une guerre entre les deux camps s’en suivit et le conflit se transposa au Maghreb. Les dirigeants arabes du mouvement, réussirent à convaincre certaines tribus berbères du Sud-constantinois de se joindre à leur lutte. Ces Berbères vont constituer la force de frappe de l’armée fatimide et participer aux assauts contre le pouvoir arabe en Afrique du nord. La guerre entre les deux tendances (Abbassides et Fatimides) s’est étalée  de 902 à 946  pour finalement se conclure par la victoire des fatimides. Ce mouvement, dirigé par des Arabes avec des groupes berbères, comme supports, qui a eu comme champs d’action  l’axe Tunisie-Sahara-Maroc mais  non pas l’Algérie-nord (constantinois, Kabylie, Algérois, Oranie), n’eût pratiquement aucun impact  sur la composition ethno-berbère de la population algérienne. Bien plus encore, sa victoire sur les Aghlabides donna lieu à un événement majeur qui allait faire chuter la présence arabe en Algérie au point zéro. Il s’agit de la décision du calife fatimide Al-Mu’izz, dernier suzerain arabe au Maghreb (Tunisie), de conquérir l’Égypte. Cette action entreprise, avec l’aide d’une armée composée de 100 000 cavaliers Berbères (Kotamas,Sanhadjas), originaires en majorité du sud-constantinois, vit le départ des populations arabes d’Afrique du nord et la transmission du pouvoir à des Berbères islamisés(Zirides). Cette évolution aboutit à une disparition totale de l’élément arabe en Algérie de sorte qu’on peut dire que la première vague arabe ayant établi sa domination sur l’Afrique du nord, ne fut pas, dans l’espace algérien, une colonisation de peuplement. La présence arabe se localisa, en effet, en Tunisie, au Maroc et en Andalousie, en raison de leur potentiel dans les domaines agricole et abricole. L’Algérie fut essentiellement une zone de passage suivant l’axe Sud-constantinois-Biskra-Tahert-Tlemcen. Qu’en sera-t-il avec la deuxième vague, celle des Béni-hillal (1051) ? Sera-t-elle une colonisation de peuplement, ou bien un mouvement passager sans aucun effet sur le caractère berbère de l’Algérie ?

Seconde Vague : Les Béni-hillals (1051-1163)

Ces tribus arabes, ont  migré en Afrique du nord en 1051. Leurs mouvements se sont inscrits par rapport à trois axes. En premier la Tunisie. Les tribus arabes renversent le pouvoir central des Zirides et imposent leur domination. Chaque chef de tribu accapare une principauté, impose son autorité, soumet les habitants des villes à payer une redevance et  les cultivateurs et arboriculteurs à donner une partie de leurs récoltes de blé, de dattes, et d’olive (un tribut), se charge du commerce ou bien le contrôle. En deuxième, le Maroc. Leur avancée, dans un premier temps vers l’Ouest est stoppée nette par des tribus berbères (Zénètes), fidèles au pouvoir marocain, de sorte qu’ils ne conquérront pas le Maroc. Ils rebrousseront chemin vers la Tunisie, ou bien s’adonneront à la razzia, soit des villes limitrophes des hauts plateaux, provoquant ainsi la ruine de Tahert, soit à l’encontre des caravanes commerciales allant de l’Est à l’ouest entraînant ainsi un déplacement des routes commerciales traditionnelles vers l’intérieur du Sahara. En troisième lieu, le Sahara:Une partie des tribus se retrouvent intégrées avec le temps dans le commerce transaharien sillonnant les régions sahariennes. Un commerce surtout autour de  Sidjilmassa, zone ou les nomades allaient échanger la poudre d’or contre le sel, pour passer ensuite par vingt quatre oasis-escales, lieu de chargement des dattes et finalement pour se diriger vers l’Orient, l’Andalousie ou bien, le Maroc ou la Tunisie, une région qui par ailleurs a reçu le plus grand nombre de nomades arabes. Qu’en est-il, sur ce point de l’Algérie, en d’autres mots, les nomades arabes se sont-ils établis dans l’espace formant aujourd’hui l’Algérie ? Quatre zones, pouvant permettre de répondre à cette question, sont à distinguer : Le Constantinois, la Kabylie/Aurès, l’Algérois et l’Oranie. S’agissant du Constantinois, exposé à la Tunisie, il est marqué par une paix relative entre Arabes et Berbères  pendant les cinquante premières années. Néanmoins, par la suite les Arabes poussèrent leurs incursions et les razzias vers cette région restée sous l’autorité des Hammadides, dynastie berbère. L’émir An-nasir, chef  de cette dynastie, ébranlé par les attaques arabes évacua la région et reflua vers l’ouest, au-delà des montagnes de la petite Kabylie. Il fonda An-nasiriya (bédjaia), un lieu choisit car les montagnes, inaccessibles aux chameaux, moyen de déplacement des nomades, offraient une protection certaine contre les attaques arabes. L évacuation par l’émir du constantinois créa un champ libre pour les troupes arabes. Vont-elles l’occuper comme dans le cas de la Tunisie ? Le Constantinois qui donnait sur la Tunisie se composait, schématiquement, de trois régions: a)- la plaine d’Annaba qui n’offrait pas de point d’ancrage, c'est-à-dire une économie agricole, en d’autres mots une paysannerie pouvant, comme dans le cas de la Tunisie, fournir un tribut ou un impôt. C’est une région parcourue par des éleveurs de moutons, vivant à la limite de la survie, refusant de payer des impôts ou un tribut. Les montagnes environnantes constituaient pour eux un refuge sûr face aux incursions arabes. De fait, la plaine d’Annaba ne constituait pas un fort attrait pour les nomades arabes. Ces derniers ne s’établirent pas dans cette région. b)- Axe plaine d’Annaba-Sud constantinois. Cette zone qui allait de la plaine d’Annaba au sud-constantinois était une région boisée parcourue aussi par des éleveurs berbères, relativement pauvres, et qui, en cas d'attaques nomades, se réfugiaient dans les montagnes. Ils le firent d’ailleurs, fuyant les razzias arabes, donnant lieu ainsi à la naissance de villages encore présents aujourd’hui. Comme dans le cas précédent, les Arabes, impuissants à obliger les Berbères de cette région à leur fournir des moyens de subsistance, ne s’y établirent pas. c)- La troisième région est le sud de Constantine, une région marquée par deux éléments ayant suscités la convoitise des tribus arabes (Athbej) : une activité agricole autour de la production de céréales qui soumit les paysans au harcèlement et aux razzias ainsi qu’une route empruntée par des caravanes venant du Sahara et se dirigeant vers le port de Bédjaia ou la Tunisie. Cette région qui était sous contrôle des hammadites devint le théâtre de batailles fréquentes entre les nomades arabes qui contrôlaient une bonne partie de la Tunisie et les Berbères. Les nomades cherchaient à imposer leur domination aux paysans ainsi que leur contrôle sur cette nouvelle route caravanière allant du Sahara à Bédjaia, devenue port d’exportation. L’issue du conflit entre les deux groupes semblait incertaine quand une élément extérieur à la région allait précipiter les événements : La montée en puissance des Mouahidines (Almohades) au Maroc. Abdelmoumem, l’émir de cette dynastie, décida, en effet, d’organiser une expédition militaire  afin d’imposer son autorité sur l’Ifrikiya ou les Hillaliens disposaient du pouvoir. Une bataille qui dura quatre jours eût lieu en 1151 à Sétif. L’armée almohade  fit face aux Hillaliens, les écrasa et les entraîna à fuir la région vers le désert tunisien et libyen. Les troupes almohades poursuivirent leur déploiement vers la Tunisie, dans le but de mettre fin définitivement au pouvoir des Béni-hillals : Début 1159, Tunis fut conquise, Mahdiya prise, ainsi que Sfax, Sousse, Gabès et Tripoli. Défaits et définitivement terrassés, les Arabes disparaîtront totalement comme pouvoir de l’ensemble de l’Afrique du nord. Ils se disperseront au point ou peut-être beaucoup d’entre eux retourneront vers l’Orient. On n’entendra parler d’eux par la suite, dans les écrits de Ibn-khaldoun, que comme individus enrôlés comme soldats-mercenaires dans les armées marocaines. En ce qui a trait à l’Algérie, la plus grande des conséquences de cette victoire  fût la disparition de l’ethnie arabe du Constantinois. Une disparition qui évita à cette région la même évolution que la Tunisie. Une situation que la Kabylie et les Aurès ont pu aussi éviter en raison de la topographie. Les montagnes furent en effet, une forteresse à laquelle les Arabes évitèrent de s’attaquer. En effet, ils n’y mirent jamais les pieds. Et pour cause, les nomades, ne sont à l’aise que dans le désert ou bien dans les plaines. Des régions qui ne les attirent que dans un cas: la présence d’une paysannerie qu’ils peuvent soumettre et exploiter à outrance. Une situation qui n’existe, par ailleurs, ni dans l’Algérois, ni dans l’Oranie et qui explique que ces deux régions n’aient pas été investi par les nomades arabes, n’aient pas connu de présence ou de conquête arabe. L’Algérois, région boisée, ne fut pas aussi une zone attractive. Les plaines de l’Algérois étaient, en effet, boisées, non cultivées, relativement désertes. Il n’existait pas dans cette région, comme dans le cas de la Tunisie, une paysannerie pouvant susciter la convoitise des Arabes. L’Oranie offrait le même visage que l’Algérois. Plus encore, elle était non seulement boisée mais aussi couverte de marécages. Cela dit, si pour la Kabylie et les Aurès, le désintérêt des Arabes pour ces régions est évident du fait de leur inaccessibilité aux chameaux, leur principal moyen de déplacement, dont ils ne se séparent jamais, s’agissant de l’Algérois et de l’Oranie, les nomades auraient pu, dirait-on, occuper le sol et travailler la terre ou bien devenir éleveurs de bétails. La réponse est non car une telle situation est inimaginable et  impossible et elle s’explique par la sociologie des nomades. En effet les nomades ne se voient que dans le nomadisme qu’il pratique dans le désert à travers le convoyage des caravanes, le transport des marchandises, les razzias et l’élevage des chameaux. Activité noble par excellence. En dessous, vient la catégorie élevant le mouton, une situation dégradante. En dessous de ce dernier, l’éleveur de bœufs ou de buffles relève de la dernière catégorie, celle des affreux sédentaires. Le travail de la terre est étranger à la vie du nomade, une activité méprisante et dégradante, car le nomade rejette la sédentarisation. Il est toujours en mouvement. Le seul compromis pour lui de se stabiliser dans un environnement précis est la possibilité, comme dans le cas de la Tunisie, de soumettre au servage une population paysanne, population qu’il exploite à fonds, poussant, par inconscience, les paysans à la ruine et à la fuite. Une situation, le ramenant à la vie d’éleveur et de nouveau au départ vers d’autres cieux. Un cycle signalé par Abdellah Laroui, dans son livre, Histoire du Maghreb. Une telle situation ne pouvait se réaliser dans  l’Algérois et dans l’Oranie étant donné l’absence d’une économie agricole et arboricole (arbres fruitiers). Un cas de figure qui explique pourquoi les tribus arabes n’ont pas imposé leur domination sur l’Algérie. La présence arabe a été restreinte dans l’espace algérien, au Sahara (Mzab) t elle finira aussi par disparaître. En effet, le déclin du commerce transaharien autour de l’or de sidjilmassa, voies détournées par les Portugais arrivés par l'Océan, mettra fin à leur présence dans cette région. Tous ces faits expliquent pourquoi le phénomène de la migration des tribus arabes en Afrique du nord n’a pas abouti à leur installation dans l’espace algérien. L’analyse de cet aspect sous l’aspect de la sociologie des nomades et de leur philosophie de la vie (nomadisme et mépris de la sédentarisation), la topographie algérienne (montagnes-forteresses), l’économie pratiquée (éleveurs de bétails dans le constantinois, absence de paysans), la géographie (plaines marécageuses et boisées), l’attrait du Maroc et la Tunisie, régions très prospères sur le plan économique et dirigées par des pouvoirs, notamment le Maroc, grands recruteurs, après 1151 (bataille de Sétif) de  Hilaliens, comme mercenaires,  permet de comprendre pourquoi l’Algérie n’a pas subi  de conquête ou de colonie de peuplement arabe, et que, les Algériens, même ceux  parlant l’arabe algérien ( en réalité un mélange de l’arabe classique et du berbère), sont dans leur totalité des Berbères.

ARISTOTE

 

 


Wagner le 10.01.10 à 15:05 dans q/ Et pendant ce temps là en Algérie. - Lu 3672 fois - Version imprimable
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Commentaires

Apprenti historien

J'ai découvert votre espace avec un réel intêret. Je crois fermement en le génie des peuples, et me réjouis que votre initiative contribue à rapprocher les peuples français et algérien. Parce que au délà des tragiques vicissitudes qui les ont dressés l'un contre l'autre, la volonté qu'ils se retrouvent dans un même élan vers la fraternité a toujours survécu aux haines et à l'incompréhension. Votre mouvement, dont je ne doute pas qu'il trouvera un écho enthousiaste en Algérie, est à saluer.
J'ai été, cependant, choqué de trouver dans votre espace ce texte signé d'un certain ARISTOTE, tout en majuscules, qui est une insulte à la vérité historique. C'est un ramassis de spécumations sans aucun fondement historique. L'avez vous seulement lu ? Truffé de contre vérités, voire d'absurdités inédites jusque là, y compris par les milieux les plus réactionnaires, ce texte, qui se veut didactique, est une insulte à l'histoire de mon pays. Dire, entre autres énormités, que l'armée arabe était dirigée par Tarik Ibn Ziad lorsqu'elle entra en Ifrikia est un canular, où l'anachronisme le plus outrancier le dispute à l'ignorance crasse.
Je vous suggère de relire ce texte, et d'en tirer les conclusions qui ne manqueront pas de s'imposer à votre raison.
Merci à vous.
Cordialement
D.Benchenouf

BENCHENOUF - 21.01.10 à 13:07 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

Monsieur, bonjour,

merci de l'intérêt que vous nous portez car cet espace, comme le Mouvement D'Algérie-Djezaïr dont il émane ont vocation de rapprocher , certes les peuples français et algérien, mais surtout les natifs d'Algérie, d'où qu'ils soient, quels qu'ils soient, de toutes communautés dont notre terre commune, l'Algérie, a la richesse mais qu'il néglige. 
Concernant cet article signé "ARISTOTE" pour lequel j'émets personnellemement  des réserves - mais je ne suis pas spécialiste et je leur laisse la place pour répondre - je l'ai mis en ligne pour justement susciter réactions et développements. Vous avez ainsi commencer. Merci. A d'autres de prendre la suite et de nous éclairer de leurs savoirs pour dénoncer, justement, quand il y a matière à dénoncer. Car seulement de la sorte, l'Histoire, non manipulatrice, trouvera toute sa place dans l'éveil de la conscience des peuples, briseur salutaire des mythes fondateurs. Tel est le prix de la vérité, de la liberté.
Merci à vous également et n'hésitez pas à intervenir quand bon vous semble, également de nous faire connaître.
Cordialement.
Eric wagner

Wagner - 21.01.10 à 18:30 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

A BENCHENOUF:vous avez mal lu.Aristote ne dit pas que les troupes arabes sont entrées en Tunisie sous le commandement de TarikIbn ZIad. Relisez le texte.Les troupes berbères se sont dirigées vers l'Andalousie.Numidien

NUNIMIDIEN - 22.01.10 à 00:06 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

Ce texte les Arabes ont-ils conquis l'Algérie est paru dans le matindz.19 décembre 2009.Je trouve au contraire qu'il nous  éclaire sur un aspect, la soi-disant conquête arabe, qui jusque là était nébuleux.C'est la première fois que je lis un texte sur cette question aussi clair et aussi convaincant.Le débat avec l'Auteur continue dans le matindz.
Numidien

NUNIMIDIEN - 23.01.10 à 19:55 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

En surfant sur internet, j'ai noté que vous avez publié mon article ''les Arabes ont-ils conquis l'Algérie?  paru dans le matindz.,du 19 janvier 2009.Je vous remercie de cette initiative étant donné l'importance du sujet que je traite.Jusqu'à date 16 000 personnes l'ont lu sur le matindz..Il y'eût 300 commentaires faites par les lecteurs. Comme vous, de nombreux blogs ont pris l'initiative de le publier et je m'en réjouis.J'ai déjà eu affaire à des commentaires similaires à ceux de M.Benchenef.Tout ce que j'ai mentionné comme repères historiques est contenu dans les livres suivants:
-Abdellah Laroui, l'histoire du Maghreb
-Gaid Mouloud, histoire des Berbères
-Mahfoud KHeddache, l'histoire de l'Algérie
-Ibn-Khaldou,histoire des Berbères
-Fernand Braudel,Grammaire des civilisations
Comme je l'ai dit, dans mes réponses dans le matindz, j'ai évité d'utiliser des auteurs français en raison des possibles arrières-pensées idéologiques.L'exception en fut M.Braudel, inventeur, semble-t-il, de la notion ''l'âge d'or de l'islam''dont le livre m'a orienté vers la philosophie des nomades, lui-même faisant référence au livre de Alain Bourguignon, auteur de ''la civilisation des nomades''A tout cela, il faut bien sûr ajouter ma touche personnelle, une profonde connaissance de l'histoire de mon pays et des groupes ethniques qui le composent ainsi qu'une haute capacité d'analyse et de synthèse, éléments  qui m'ont fait aboutir au constat que les Arabes n'ont jamais conquis l'Algérie et que de ce fait les Algériens ne sont pas des Arabes mais des Berbères ou Amazighes.Salutations
ARISTOTE

ARISTOTE - 24.01.10 à 11:29 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

Merci "Aristote" de votre réponse et de participer ainsi, car telle est la vocation de ce blog, à l'enrichissement du sujet que vous abordez. Merci également de votre attitude d'ouverture dans ce débat.
A vous lire.
Eric

Wagner - 24.01.10 à 12:18 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

Maitre Historien:aristote
M.Benchenouf n'a plus donné signe de vie.Ma conclusion semble l'avoir foudroyé, d'Autant plus qu'elle est basée sur une démonstration imparable et des plus convaincaintes.Dommage, je m'attendaits à ce qu'il  revienne avec des arguments solides remettant en cause ma thèse. A moins qu'il ne se soit replongé dans les ouvrages de l'époque que je traite pour me démontrer que mes affirmations sont, comme il le dit, sans aucun fondement historique.Ce sera difficile pour lui, car mes références sont entre autres, Abdellah Laroui(Maroc) et Fernand Braudel,deux des plus grands historiens du Maghreb et de la Méditerrannée.Cela dit, je l'invite à consulter les échanges ayant suivi mon article( lematindz, 19 décembre 2009), qui soit dit en passant, constitue une  révolution en la matière, et il sera édifié par le nombre de personnes en accord avec ce que j'avance, à savoir que les Arabes n'ont jamais conquis l'Algérie et que les Algériens sont des Berbères ou des Amazighes.

ARISTOTE - 28.01.10 à 01:12 - # - Répondre -

Re: Apprenti historien

MAITRE HISTORIEN:ARISTOTE
Erreurs d'inattention::
Convaincantes et non convaincaintes
je m'attendais et non je m,attendaits.

ARISTOTE - 28.01.10 à 01:17 - # - Répondre -

MAITRE-HISTORIEN:ARISTOTE
Pour plus d'articles sur la question, consultez mon blog:aristote-algeria.over-blog.com
1)-les Arabes ont-ils conquis l'Algérie?
2)-Les Béni-Hillals auraient-ils pu conquérir l'Algérie-centre?
   -Époque almoravide(morabitine)
Dautres articles sur ce sujet suivront:
3)-les Béni-hillals sous la période almohade
4)-l'Europe à l'École de l'Afrique du nord et de l'Andalousie
5)-etc,etc...
Cordialement
Aristote
 

ARISTOTE - 30.01.10 à 09:07 - # - Répondre -

N ouveaux Textes.

Nuveaux textes approfondissant mon article ''les Arabes ont-ils conquis l'Algérie''.Consulter mon blog:http://aristote-algeria.over.blog.com
Bonne lecture
Aristote(Y.S)

ARISTOTE - 21.02.10 à 22:07 - # - Répondre -

ARTICLE REMARQUABLE

UNE ANALYSE REMARQUABLE
La colonisation arabe de l'Algérie n’a pas eu lieu
Pour répondre à ces différentes inquiétudes et interrogations, dans un article remarquable (1), un universitaire utilisant le pseudo d'Aristote, ouvre unenouvelle étape dans le débat sur l'identité algérienne, en le replaçant sur le terrain de 1'histoire.
Dans le passé de l'Algérie, 1'auteur distingue deux périodes.
* La première (700-973) correspond à la conquête arabe, se heurtant à une forte résistance, à des rapports difficiles ensuite avec les berbères puis à la naissance d'un mouvement d'opposition avec le kharidjisme. Le royaume de Tahert fut détruit par Aghlab, le gouverneur du Mzab, mais la dynastie qu'il fonda fut renversée par les Fatimides, à la tête d'une armée berbère (Kotamas, Sanhadjas).Cette action « Aboutit à une disparition totale de l'élément arabe en Algérie de sorte qu'on peut dire que la première vague arabe ayant établi sa domination sur 1'Afrique du Nord ne fut pas, dans l'espace algérien, une colonisation de peuplement. »
* La seconde période, celle des Beni-Hillals (1051-1163) est marquée par le renversement du pouvoir des Zirides en Tunisie, 1'échec de la conquête du Maroc et la ruine des royaumes berbères en Algérie, comme celui des Hammadites. En 1151 une armée almohade berbère écrasa les Hilaliens à la bataille de Sétif. « Défaits et définitivement terrassés, les Arabes disparaîtront totalement comme pouvoir de 1'ensemble de l'Afrique du Nord. Ils se disperseront ou peut-être beaucoup d'entre eux retourneront vers I'Orient. On entendra parler d'eux par la suite, dans les écrits d’Ibn Khaldoun, que comme individus enrôlés comme soldats mercenaires dans les armées marocaines. En ce qui a trait à l'Algérie, la plus grande des conséquences de cette victoire fut la disparition de l'ethnie arabe du Constantinois. »
Le creuset de l’Afrique de Nord est berbère
« L’analyse de « la sociologie des nomades et de leur philosophie de vie (nomadisme et mépris de la sédentarisation), la topographie algérienne (montagnes-forteresses), 1'économie pratiquée (éleveurs de bétail dans le Constantinois, absence de paysans), la géographie (plaines marécageuses et boisées), 1'attrait du Maroc et de la Tunisie, régions très prospères sur le plan économique et dirigées par des pouvoirs, notamment le Maroc, grands recruteurs, après 1151 (bataille de Sétif) de Hilaliens comme mercenaires, permet de comprendre pourquoi l'Algérie n'a pas subi de conquête ou de colonie de peuplement arabe et que, les Algériens, même ceux parlant l'arabe algérien (en réalité un mélange de l'arabe classique et du berbère) sont dans leur totalité des Berbères ». Analyse largement fondée si 1'on se réfère aux principaux ouvrages sur la question (2)
Jacques Simon - 8 janvier 2010
Auteur de nombreux ouvrages dont l’immigration algérienne en France, des origines à 1962
Pour accéder à l’article au complet, voir site :http  //:www.creac,org/ phpsimon/ hist.pdf
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1-. Aristote. « Histoire et identité : les Arabes ont-ils conquis l'Algérie ? », Le
Matin, 19/12/2009.
2. Charles-André Julien « Histoire de 1'Afrique du Nord. Des origines à 1830 »,
Ed. Payot, 1994 ; E-F- Gautier. « Le passé de 1'Afrique du Nord », Payot, 1964 ;
Bremond (Gal). « Berbères et Arabes. La Berbérie est un pays européen », Payot,
1950 ; Georges Marçais. « La Berbérie musulmane et 1'Orient au Moyen Âge »,
Aubier, 1946 ; Abdallah Laroui. « L'histoire du Maghreb », Maspero, 1970 ;
Gabriel Camps. « Les Berbères.Mémoire et identité », Babel, 2007.

ARISTOTE - 09.03.10 à 22:52 - # - Répondre -

La migration des nomades arabes vers l'Égypte

8 mai 2010:nouvelle étude-
Un fait méconnu:la migration des tribus arabes du Maghreb vers l'Égypte (fin 18ème siècle-19 ème siècle). consultez mon blog:aristote-algeria.com

ARISTOTE - 08.05.10 à 16:16 - # - Répondre -

Monsieur,  merci de vos contributions.
Cordialement.
Eric Wagner pour D'Algérie-Djezaïr

Wagner - 09.05.10 à 14:45 - # - Répondre -

 Ainsi donc, monsieur ARISTOTE, votre réponse m'aurait foudroyé, et je me serais par conséquent glissé sous le tapis de votre magistrale contribution, honteux et contrit.
Le fait est que je n'ai pas eu l'occasion de revenir sur cet espace. Et que je n'avais tout simplement pas lu votre fulgurante réponse.
Je me contenterai, plutôt que de vous répondre à mon tour, de signaler à vos lecteurs, qu'ils seraient bien avisés de consulter les ouvrages d'éminents historiens, Charles André Julien, Stéphane Gsell, Gilbert Meynier, Abdallah Laroui, Mahfouh Kaddache, Ibn Khaldoun, et bien d'autres dont la rigueur, le le long travail de recherche, et les analyses aussi fines qu'elles sont prudentes, donnent de l'histoire du Maghreb, ou de l'Afrique du Nord, si vous préférez, une lecture autrement plus sérieuse, et tellement moins réductrice que l'échafaudage branlant  que vous nous livrez. 
Je vous invite à les consulter vous même, par ailleurs, pour vous forger, sinon un tant soit peu de connaissance sur des sujets dont vous ignorez tout, du moins un peu de modestie.
D.Benchenouf

BENCHENOUF - 27.08.10 à 00:45 - # - Répondre -

Du débat jaillit la lumière...!

merci à vous d'y participer.
Cordialement

E Wagner

Wagner - 27.08.10 à 10:11 - # - Répondre -

Re:

Nouvelle étude::"Emigration des nomades,disparition des derniers groupements arabes d'Algérie(1921-1954)"sur mon site:aristote-algeria.com

Aristote(ys) - 30.08.10 à 14:10 - # - Répondre -

Re: A Mr.Benchenouf

Mr.Benchenouf.En allant sur mon site:aristote-algeria.com, vous noterez que je fais référence aux auteurs que vous citez,notamment Ibn-khaldoun.Le commentaire de Mr.Savelli, ci-dessus caractérisant mon texte d'analyse remarquable, est sans équivoque.Pour votre information Mr.savelli, natif d'Algérie, est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'Algérie.Ma thèse a peut-être été esquissée par d'autres mais  c'est la première fois qu'elle est développée d'une façon aussi convaincante par un enfant du pays.Elle a été reprise par au moins 20 sites.(Algérie-France-Canada).En Algérie,des sites de toutes les régions du pays l'ont reprise (Sahara-algérois-Constantinois-Oranie...).En plus de cela il faut ajouter les 20 000 personnes du matindz(19 déc.2009) qui l'ont consultée, ainsi que les lecteurs arabisants qui peuvent accéder à la traduction en arabe.Au sujet d' Ibn-Khaldoun, Yves Lacoste dans son livre,"Géographie du sous développement', si je ne me trompe,(lecture de mes années d'université), disait de cet auteur qu'il avait conscience d'élaborer une nouvelle façon d'aborder l'histoire.C'est mon cas. Mr.Benchenouf, je suis conscient, et c'est pour cela que je persiste, de réécrire l'histoire de l'Algérie en détruisant un mythe à savoir que les Arabes ont occupé et peuplé l'Algérie.Pour finir,je voudrais vous dire ce qui suit:
1)-Vous citez Mahfoud Khaddache(mon prochain sujet d'étude).Dans son livre"l'Algérie médiévale" deux points sont à relever.a)-Il dit que la kabylie n'a pas reçu de tribus arabes.Et pour cause, c"est une montagne forteresse.b)-Mr.Khaddache a une vision statique de la présence des tribus arabes  en Algérie.Il donne une photographie de leur présence à un moment donné,mais ne décrit pas leur évolution.Une présentation qui omet un élément fondamental, à savoir que les Arabes étaient des nomades, donc en mouvement.Aujourd'hui, ils sont ici, demain ils seront là-bas, loin, très loin, vu leur capacité de parcourir au moins 100 kms en un jour, comme l'a signalé fernand Braudel dans son livre "grammaire des civilisation",De fait, elles finiront par partir, vers la Tunisie et le Sahara, comme cela ressort dans  l'histoire des Berbères,Tome1, d' Ibn-Khadoun(voir mon site:aristote-algeria.com,texte 7 et 8).Cette présentation de Mahfoud Khaddache est limitée, peut induire en erreur et faire croire que les arabes ont élu domicile en Algérie..Un élément encore plus évident et explicite:Mr.Khaddache dit"la tribu des Taalibis occupe la Mitidja".Et point.Savez-vous ce que vous lirez sur cette tribus à la page 127, d"Ibn-Khaldoun(tome 1) qui ne ressort pas dans le livre de Mahfoud Khaddache..La tribu des taalibis a été exterminée par Abou Hamou, le Zayyanide de Tlemcen.No comment***
Aristote(ys)
PS:je vous invite à écrire un texte réfutant ma thèse, que vous proposerez au Matindz, et évidemment à Dalgerie-Djezair qui nous donne l'occasion d'échanger sur ce sujet.Ainsi, le débat, entre vous et moi, connaitra une portée plus large.

 

Aristote(ys) - 31.08.10 à 18:52 - # - Répondre -

if faut continuer à débattre...

Le débat continue et il est passionnant.
Puisse-t-il s'élargir à d'autres érudits.
Nous sommes heureux à D'Algérie-Djezaïr de participer sur ce sujet comme sur d'autres à une parole libérée et décomplexée sur l'Histoire de notre terre commune.
merci.
EW

Wagner - 01.09.10 à 02:50 - # - Répondre -

Re: A Mr.Benchenouf

Erreurs:Lire commentaire de Jacques Simon et non Savelli.Mes regrets
Aristote(ys)

aristote(ys) - 10.09.10 à 18:07 - # - Répondre -

Mr.Benchenouf


    
   

Aristote(y.s) - 15.12.10 à 00:14 - # - Répondre -

Re: Mr.Benchenouf

Les Arabes n’ont pas envahi l’Algérie....
Notre article  ‘’Les Arabes ont-ils conquis l’Algérie’’,publié par le Matindz( 19 décembre 2009)  a été repris par de nombreux  de sites,notamment‘’D’algerie-Djezair.com’’, qui, le 20 janvier 2010, publia un commentaire de Djamel-eddine Benchenouf, journaliste au quotidien d’Algérie....(Lire suite dans le Matindz,14 décembre 2010)
Aristote(y.s)

Aristote(y.s) - 15.12.10 à 23:48 - # - Répondre -

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